À propos

L’hôte de ces lieux, c’est moi ! Gwenaëlle ! Je réserve les « madame » et autres appelations formelles aux autres. Pour ma part, je considère que si vous m’accordez votre confiance pour me confier l’image de votre mariage, on peut, a minima, s’appeler par nos prénoms. D’ailleurs, si vous êtes ici, c’est que vous êtes curieux et/ou désireux d’en savoir plus sur moi. Vous cherchez la perle rare à qui remettre la décoration de votre Jour-J et vous avez bien raison de vouloir vous renseigner. Je vous comprends, il n’y a rien de pire que passer la porte d’un salon de coiffure sans être certain.e du résultat à la sortie ! Pour la décoration de votre mariage, l’enjeu est encore plus grand. Tous les êtres qui vous sont chers en seront témoins et les photos souvenirs vous hanteront pour les 50 années à venir.

À votre avis, qui a la pression maintenant ? 50-50, balle au centre !

Wedding designer, une vocation qui m’est tombée dessus

S’il y a bien une constante dans mon parcours, c’est mon attrait pour le « beau ». Pas au sens esthétique car je ne crois ni au « beau » ni au « moche » mais au sens artistique du terme. Petite, je répondais que je voulais être peintre. J’ai toujours été subjuguée par les techniques artistiques, l’harmonie des couleurs et le résultat des deux. Ado et sans n’avoir jamais mis les pieds ni au Louvre, ni même à Paris, j’ai décidé que je ferais l‘école du Louvre. Il fallait que je comprenne comment à travers les âges, de simples personnes avaient réussi à faire tout cela. Le concours d’entrée obtenu, j’y ai passé deux ans avant de finir ma licence en double cursus histoire/histoire de l’art. Pendant ces deux années, je me suis spécialisée en architecture des grandes demeures et j’y ai étudié la scénographie. Autrement dit, la manière dont on aménage l’espace. J’ai aussi passé des heures à étudier les serrures et manteaux de cheminée mais je ne suis pas certaine que ça vous intéresse ?

Ma nouvelle ambition étant de faire de la communication culturelle, je me suis orientée en master de communication généraliste. Qu’on se le dise, l’envie entrepreneuriale était déjà bien présente. Il me semblait important de ne pas me spécialiser en culture pour ne pas me fermer des portes lors de ma/mes futur.es reconversions.

Sauf, qu’arrivée en master… je me suis vite ennuyée ! J’ai donc couplée mon parcours universitaire à une formation en création d’entreprise. Pourquoi perdre du temps ?!
Dans ce projet fictif monté avec d’autres étudiants, j’étais en charge de la communication. Sortir des musées avait du bon et ça a été une révélation ! Vous voulez du dossier ? C’est ici !

J’ai décidé de continuer à explorer cette voie et j’ai fait mon alternance dans un service de marketing évènementiel. J’y ai découvert la gestion de projet et l’organisation d’évènements. J’ai adoré cette période.

Pas encore officiellement dipômée, j’obtenais mon premier contrat dans cette même entreprise mais dans un service différent. Ma carrière était toute tracée ! De cheffe de projet, je suis rapidement passée responsable d’équipe. Le salaire était confortable mais la pression l’était moins. Pire encore, je ne me sentais ni alignée avec mes missions, ni avec mes ambitions.

Pour TayTay, il y a 1989, pour moi, il y a 2017.

C’est l’année où j’ai pris conscience que j’étais bien loin de mes aspirations de départ.
De mon côté, la décision était prise, il fallait que je sorte de ce salariat pour me retrouver et fonder ma propre entreprise.

Je voulais conserver la gestion de projet, l’accompagnement de personnes et surtout, renouer avec le « beau ». Le tout devait être plaisant et j’avais à coeur de me sentir utile. L’équation est plutôt simple, non ? Wedding designer était la clé !

En 2019, je me forme à l’école du mariage et je fonde la Façonnerie à la suite. L’aventure est officiellement lancée !